29 ans, je m’appelle Ariane Delamarre et je suis une des plus jeunes candidates aux législatives 2012. J’ai grandi dans une vie simple à la campagne avant de vivre en ville. Représentante des jeunes par mon âge, je suis déterminée à être la candidate au service de tous les habitants de ma circonscription. Je compte faire de mon âge et de mon énergie un atout et je vous promets de montrer à tous qu’on peut être jeune, avoir la tête sur les épaules, prendre en compte particulièrement les problématiques de chômage, de formations, de logements et les envies de projets incroyables des jeunes et en même temps avoir la capacité de se mettre à l’écoute et de comprendre les problématiques et les envies de tous qu’ils soient ainés, aient la quarantaine, ou 15 ans, qu’ils soient retraités, actifs, chômeur ou étudiant, quelque soit leur métier, pécheur, ouvrier, agriculteur, employé de mairie, professeur…. . Force est de constater que nous sommes tous sur le même bateau et que ce n’est pas en se tirant dans les pattes que nous pourrons avancer ! C’est en avançant tous ensemble dans une société apaisée qui respecte chacun, reconnaisse la valeur de chacun d’entre nous et agisse dans l’intérêt général et dans l’intérêt de tous que nous pourrons atteindre le cap que nous nous sommes fixé de croissance économique, d’emploi pour tous, de réussite de nos familles et de nos enfants et que nous pourrons créer une société où il fait bon vivre.
J’ai, pendant des années, été défiante envers la politique, ne croyant pas aux politiques méprisants qui faisaient le contraire de ce qu’ils promettaient, ni en ces politiques pleines d’idéologies qui opposaient les français les uns aux autres et bien loin des préoccupations des Français. Puis j’ai fini par comprendre que la politique, c’était aussi nous qui pouvions la faire en nous bougeant si on voulait la faire changer.
J’ai découvert à ce moment le centrisme à l’époque de l’UDF et j’y ai trouvé une démarche qui me convenait enfin. Il ne s’agissait pas d’appliquer à tout prix une idéologie à la réalité. Le but n’était pas non plus de défendre un groupe contre un autre groupe. Non, cette démarche était pragmatique et collait à une réalité simple : elle partait du constat que nous vivons tous dans la même société, côte à côte, et qu’il faut respecter chacun, reconnaître la valeur de chacun et partir de la vie réelle des personnes, de toutes les personnes composant la société française sans les opposer les unes aux autres, pour tenter par des mesures concrètes et raisonnables d’améliorer leur vie au quotidien.
Cette démarche me convient parce qu’elle tente de faire avancer tout le monde dans le bon sens sans essayer de détruire un autre groupe. Cette démarche me convient parce qu’elle est fondée sur l’intérêt général, sur l’équilibre entre différents intérêts importants : libertés, égalité des chances pour tous, emploi, logement décent, respect des générations futures dans l’environnement comme dans l’équilibre budgétaire, dignité et reconnaissance, respect... pour améliorer les conditions de vie d’un maximum de Français.
J’ai soutenu la candidature de l’UDF en 2007 et c’est tout naturellement que j’ai adhéré au Nouveau centre, le parti de centre droit présidé par Hervé Morin héritier de l’UDF et porteur de ces valeurs d’apaisement, en 2007 suite à une réunion publique à Paris. A cette époque, les Jeunes centristes (je suis aujourd’hui président des Jeunes centristes de Haute Normandie) mettaient en valeur une citation qui correspond tout à fait à ma vision de la politique :
Il y a « ceux qui veulent être quelqu'un et ceux qui veulent faire quelque chose »
Et moi je serai toujours de ceux qui veulent faire quelque chose, mais pas n’importe quoi, me mettre au service des gens comme je suis actuellement au service de l’éducation nationale comme professeur pour enseigner aux enfants dans mon collège. Juriste de formation, j’ai tout d’abord travaillé dans un ministère où j’ai travaillé à des modifications de textes réglementaires, du droit européen et du droit public des affaires, travail qui m’a donné goût à l’amélioration concrète de notre système. J’ai travaillé ensuite dans une entreprise privée où je négociais des contrats ou répondais pour des marchés publics. Ce travail m’a beaucoup apporté pour comprendre l’entreprise privée et le monde des affaires. Pendant ce temps, j’aidais en même temps la petite exploitation agricole familiale. Après avoir travaillé sur des mots et du papier, j’ai décidé de me consacrer à un travail qui a pour but d’améliorer la vie en devenir des enfants, j’ai donc changé de profession et je suis devenue professeur d’histoire en me relançant dans des études d’histoire contemporaine (relations internationales). J’aime ce métier et ce qu’il apporte à la collectivité. Et c’est la même raison qui m’a poussée à accepter la proposition de devenir candidate aux législatives pour vous. Je souhaite donc faire entendre une voix différente, bousculer les pratiques politiques pour les remettre réellement au service de VOUS, de chacun d’entre vous. La société que je compte me déployer à créer, c’est une société pour tous, une place pour chacun.